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DESTIN DE FEMMES
En parcourant une revue de la place, j’ai été intéressé par un article que j’ai voulu partagé avec vous.
Destin de femmes comme je l’intitule me permet de parler brièvement du devenir de la femme soumise parfois à certaines contraintes de nos sociétés.
En règle générale toute femme aspire à vivre dans un ménage aux cotés d’un bon mari et bien sur des enfants. Mais peut être le nombre plus important de femmes que d’hommes mais aussi et surtout à cause du fait que du point de vue religieux, la loi islamique autorise à prendre jusqu’à quatre épouses, certains hommes se mettent à leur aise.
Ces hommes omettent parfois volontairement le coté équité qu’exige la religion vis à vis de ces femmes. Equité dans le temps passé auprès de chacune d’elle, équité financière, équité dans l’estime et l’amour.
Du coup en fonction de la position occupée :
" Aawoo " ou première, "niarel " ou deuxième, " nietel " ou troisième, ou " nientel " ou quatrième ; les avantages et les inconvénients varient.
Malgré leur possibilité de choix de vivre en polygamie ou non, les femmes sont parfois victimes de leur statut de dépendance dans la société.
Le statut d’épouse et mère de famille étant plus valorisant.
La religion, les pressions familiales et sociales font que le mariage qui seul donne aux femmes un statut social enviable, demeure la seule possibilité pour elles.
La quarantaine sonnant, la crainte de la solitude et la regard peu tolérant de la société à l’égard des femmes encore célibataires passé un certain âge, tout cela amène certaines femmes à ne plus être trop regardantes sur leurs prétentions matrimoniales.
Ainsi, leur leitmotiv devient " mieux vaut être dans un ménage polygame plutôt que de ne pas être mariées du tout ".
Le célibat à vie et ou un enfant hors mariage constitue encore un drame dans certaines familles et seul le mariage permet de former une famille légitime.
La situation polygamique s’impose parfois suite à des difficultés entre l’épouse et la belle famille ou plus simplement du fait d’un manque d’harmonie dans le couple.
Quel qu’en soit le cas, les hommes sont des polygames potentiels et à l’heure actuelle, aucune femme n’est à l’abri de la polygamie. Puisque même dans les sociétés ou le régime monogamique s’impose par habitude (chez les maures en Mauritanie) ou par obligation (dans la constitution Tunisienne), les femmes subissent souvent l’équation des maîtresses qui sont parfois mieux traitées que l’épouse légitime.
Dans tous les cas le destin de la femme restera un problème auquel on attendra toujours la solution miracle.
Dans son livre " les larmes des hommes ", Michel MANCEAUX écrit : " on constate encore aujourd’hui que les hommes font plus souffrir les femmes que l’inverse. Non pas parce que l’infidélité masculine est plus répandue, mais parce que les femmes demeurent opiniâtrement crédules, elles rêvent toujours d’un amour total, corps et âme. Elles veulent toutes le prince charmant, elles sont malheureuses parce qu’elles sont toujours déçues .
Il y a un tel déséquilibre entre la femme qui imagine l’amour et l’homme qui vit toutes ses aventures". Mais que faire ?
Merci pour le temps consacré à la lecture
NB : Réactions souhaitées.
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